Ces petits ĂŞtres vivants qu’on rencontre partout dans la nature et sur la quasi-totalitĂ© des rĂ©gions du globe me passionnent depuis fort longtemps! Je ne me lasse « jamais » de pouvoir les observer, Ă  tenter de les identifier ou encore de relever quelques dĂ©tails qui me permettront d’Ă©toffer de plus en plus mes connaissances. Son identification ainsi faite! Vous pourrez dorĂ©navant aller un peu plus Ă  sa rencontre en cherchant Ă  les connaĂ®tre un peu mieux: oĂą est son milieu de vie, comment se comporte t’il dans la nature, quelles sont ses habitudes alimentaires,ses habitudes de vie…

C’est ce que je vous propose au travers ce petit article: des moyens simples pour s’initier Ă  leur reconnaissance, aller Ă  leur rencontre, ou encore, Ă©couter leurs piaillements d’arbre en arbre! Ces quelques notions assimilĂ©es et relevĂ©es, il vous restera plus qu’Ă  acquĂ©rir un petit ouvrage bien complet, simple pour confirmer ses observations.

L’observation est la clĂ© « majeure » pour une quelconque identification de ces petits oiseaux, qui animent, colorent, agrĂ©mentent… notre belle nature. Je l’entends! Il est passĂ© non loin de moi! Nous allons essayer comme dit prĂ©cĂ©demment, grâce aux informations recueillies, essayer de l’identifier. Ces nombreux dĂ©tails sont appelĂ©s plus communĂ©ment en langage ornithologique « les clĂ©s d’identification ». J’essaierai tant que possible de vous prĂ©senter des espèces qui nous sont communes et observables ici en mĂ©tropole, mais Ă©galement Ă  la RĂ©union! Vous pourrez Ă©ventuellement par la suite, les croiser sur vos chemins de randonnĂ©e, au dĂ©tour d’une balade familiale, d’un petit footing, ou encore et pourquoi pas, un de ces « quatre » ensemble!

Commençons par sa  FORME:

Vous devez retenir deux critères fondamentaux concernant cette aspect morphologique. Est-il de forme RONDELETTE ou SVELTE? Ce dĂ©tail morphologique est Ă©lĂ©mentaire dans votre future dĂ©termination de l’espèce. Le « Bouvreuil pivoine » est un beau spĂ©cimen de ce type « rondelet ».  C’est un oiseau très infĂ©odĂ© aux milieux boisĂ©s. ArrivĂ© au printemps, il peut ĂŞtre observĂ© dans vos jardins, se dĂ©plaçant d’un bosquet Ă  un autre, Ă  la recherche de ces mets qu’il affectionne tant: « les pousses nouvelles ou les bourgeons ». On constate une nette diminution de ses effectifs ces dernières annĂ©es. Le mâle arbore un apparat nuptial très remarquable lors de la « pĂ©riode des amours », ce qui le rend très « coloré » Ă  cet instant de l’annĂ©e: un bon moyen je pense, pour espĂ©rer l’observer Ă  cette pĂ©riode!

« Bouvreuil Pivoine » (Mâle)

Quant Ă  mon individu « svelte »,  la « Bergeronnette grise » (ou de Yarrell) est un très beau spĂ©cimen en la matière! Très prĂ©sente sur le territoire mĂ©tropolitain et surtout en milieu urbain, on l’appelle aussi le « hoche queue »! Pour sa tendance incessante Ă  relever ses rectrices (plumes très importantes lors du vol, et qu’on trouve chez tout oiseau, en extrĂ©mitĂ© du croupion). Son dĂ©placement au sol par sursaut successif et très rapide, sont des particularitĂ©s très notables chez cette espèce.

« Bergeronnette grise ou de Yarrell » (Mâle)

La « forme des ailes » en vol, peut ĂŞtre Ă©galement un bon critère pour pouvoir affirmer ou pas qu’on est en prĂ©sence de telle ou telle espèce. Retenons ici, deux dĂ©tails majeurs: sont-elles de forme arrondie ou pointue?

L’« Hirondelle des Mascareignes » (ou Hirondelle de Bourbon) arbore ces ailes pointues. Notons que cette dernière est endĂ©mique Ă  l’Archipel des Mascareignes, dont fait partie l’ĂŽle de la RĂ©union. Nous pouvons souligner Ă©galement que chez l’Hirondelle des Mascareignes, il n’y a pas de dimorphisme entre les individus de sexe diffĂ©rent. Ce qui signifie plus simplement, qu’il n’y a pas de diffĂ©rence de morphologie entre le mâle et la femelle.

« Hirondelle de Bourbon »

Pour les ailes arrondies, on pourrait citer en exemple le « Moineau domestique ». il est prĂ©sent ici et Ă©galement Ă  la RĂ©union. Chez beaucoup d’espèces d’oiseaux, arrivĂ© Ă  la pĂ©riode nuptiale, Messieurs montrent et dĂ©montrent souvent ses apparats colorĂ©s pour sĂ©duire ces Dames! Chez le Moineau cette diffĂ©rence de morphologie est observable de façon très nette tout le long de l’annĂ©e. La nette diminution des chiffres le concernant ces dernières dĂ©cennies, pour une telle espèce tellement prĂ©sente de par le monde entier, dĂ©montre bien la difficultĂ© aujourd’hui pour tous les oiseaux de survivre dans leur environnement naturel que nous faisons que rĂ©duire par notre soif de dĂ©veloppement et de rĂ©duction de leurs espaces de vie.

Mme et Mr « Moineau domestique »

Le BEC est un Ă©lĂ©ment très remarquable pour l’identification d’une espèce!

Cet artifice essentiel pour les oiseaux, leur permettant de s’alimenter peut ĂŞtre catĂ©gorisĂ© sous trois formes très remarquables. Ce petit dessin dĂ©note très bien leur aspect remarquable!

De gauche vers la droite, le bec fin, le bec épais et le bec croisé

Le « Tuit Tuit » (Ă©chenilleur de la RĂ©union) est un bon exemple de « bec fin ». Il doit son nom, comme beaucoup voire la quasi totalitĂ© des oiseaux Ă  la RĂ©union pour un dĂ©tail simple et non scientifique. C’est une caractĂ©ristique de la dĂ©nomination des oiseaux Ă  la RĂ©union, ce sont les 1ers habitants qui les ont nommĂ© et pour cela ils ont souvent optĂ© pour un dĂ©tail caractĂ©ristique remarquĂ© chez l’espèce: le « Tuit » rĂ©pĂ©tĂ© de son chant lui a donc valu son nom (comme pour le Tec-Tec (la femelle est mise en avant en ouverture de cette article)! Le « Tuit Tuit » est un endĂ©mique en danger critique d’extinction, qui selon les derniers chiffres, survit très difficilement sur un espace très restreint (moins de 20 km2) au niveau de la RĂ©serve Naturelle de la Roche Écrite (Nord de l’ile). Il ne resterait aujourd’hui qu’Ă  peine un peu plus de 35 couples!

Le « Tuit Tuit » (Mâle)

Le « GrosBec Casse-Noyaux » est Ă  mon humble avis, un très beau spĂ©cimen de cette grande famille d’ĂŞtres vivants ailĂ©s! On peut l’observer sur une très grande partie du territoire. Il en est dotĂ© de cet artifice bien distinct: « le bec Ă©pais ». J’ai eu l’occasion de pouvoir l’observer et je trouve qu’il est parmi les plus beaux passereaux de France et d’Europe. Il a basĂ© son alimentation sur des graines très dures, c’est pourquoi il a naturellement dĂ©veloppĂ© ce bec puissant, ainsi qu’une imposante musculature autour de ses mandibules (parties supĂ©rieures et infĂ©rieures du bec), qui caractĂ©rise Ă©galement sa grosse tĂŞte caractĂ©ristique et lui permet aisĂ©ment de casser les noyaux durs, de cerises par exemple!

Le « Grosbec Casse-Noyaux »

C’est dans les hĂŞtraies-sapinières qu’on retrouve souvent le « Bec-croisĂ© des sapins », qui est Ă©quipĂ© de ce fameux « bec croisé »! Ce sont ces zones, « les hĂŞtraies sapinières » qu’on qualifie souvent d’Ă©tage montagnard. Ce dernier est sensiblement compris entre 900 et 1500m dans les Alpes et sensiblement entre 800 et 1700m dans les PyrĂ©nĂ©es. Ses altitudes peuvent variĂ©es (de +200m env.) si vous ĂŞtes en « Adret ou en Ubac » (versant ensoleillĂ© ou Ă  l’ombre, appelĂ© « Soulane » et « Ombre » dans les PyrĂ©nĂ©es).

« Bec-croisé des sapins » (Femelle)

Le « Bec-croisé des sapins affectionne beaucoup ce milieu car il trouve là sa nourriture dans les cônes des épicéas, des pins sylvestres ou encore des sapins pectinés. On note un dimorphisme remarquable entre la femelle de couleur plutôt jaune verdâtre et le mâle plutôt rouge orangé. Ce bec le qualifiant nettement, a été développé en concordance avec son régime alimentaire surtout porté sur les conifères, pour y dénicher aisément leurs graines.

Attachons nous à détailler la QUEUE dorénavant!

LĂ  aussi trois formes particulières se dĂ©tachent: les queues dites « fourchues », celles dites « droites » et enfin celles nommĂ©es « échancrĂ©es ». Ce sont des dĂ©tails que nous allons surtout essayer de relever lorsque l’oiseau est au poser. Il est important de savoir que le caractère fourchu et Ă©chancrĂ© est parfois utilisĂ© pour dĂ©finir le mĂŞme attrait chez les passereaux.

De gauche à droite, la queue fourchue, droite et échancrée

Sa couleur et celle de son croupion sont des éléments qui viendront compléter ces attraits parfois très qualificatifs pour certaines espèces (comme le « T » des rectrices du Pinson des arbres par exemple). Voici quelques petits détails concernant ces éventuelles couleurs:

Concernant les rectrices, ce peut être des tâches, des extrémités ou encore des bordures extérieures caractérisées par des couleurs. On peut aussi dénoter un marquage caractéristique en « T » chez certains individus. Concernant les spécimens choisis pour qualifier ces détails caractéristiques de la queue, je me suis concentré essentiellement sur sa forme.

« Hirondelle des fenêtres » avec « sa queue fourchue » très marquée

L’« Hirondelle des fenĂŞtres » est un oiseau migrateur qui fait  son retour chez nous vers le mois d’Avril de chaque annĂ©e. Son arrivĂ©e varie de quelques jours Ă  quelques semaines en fonction des conditions climatiques qui sont de moins en moins marquĂ©es et la rĂ©gion de France oĂą l’on se situe: plus nous sommes dans la partie septentrionale, plus son arrivĂ©e sera tardive. Les petits reviennent Ă  l’endroit oĂą ils sont nĂ©s d’oĂą l’importance pour la survie de l’espèce de ne pas retirer leur nid Ă  leur dĂ©part en fin d’Ă©tĂ©! Selon oĂą il est placĂ©, il peut occasionner des gĂŞnes insalubres. En bricolant des petites plaquettes qu’on viendra fixer lĂ©gèrement en dessous du nid, peut remĂ©dier très facilement Ă  ce dĂ©rangement et ainsi contribuer Ă  la survie de l’espèce. Les chiffres la concernant sont Ă©galement en très nette diminution pour ces dernières dĂ©cennies!

Le « Troglodyte mignon » et sa petite queue droite et très caractéristique!

Le « Troglodyte mignon » est de très petit gabarit (de l’ordre de quelques grammes). Avec le Roitelet il fait partie des plus petits passereaux du monde. Il reste très attachĂ© au domaine ripisylve et c’est lĂ  oĂą il est le plus souvent observĂ©. Le hochement si particulier de sa « queue droite », petite et remuante est une clĂ© d’identification qui ne manquera pas de vous surprendre!

Le « Roitelet huppé »

Le « Roitelet huppé » est comme je l’ai dit pour le Troglodyte, parmi lui aussi, les plus petits oiseaux du monde. Au vu de sa taille ce n’est pas grâce Ă  ce dĂ©tail morphologique que vous arriverez le plus souvent Ă  l’apercevoir, mais bel et bien par son hyperactivitĂ©! Très actif dans les parcs, jardins et en forĂŞt (souvent de conifères), il trahit sa prĂ©sence et nous offre un court plaisir Ă  pouvoir le suivre du regard, ne serait-ce qu’un instant! Comme beaucoup d’autres passereaux, il a la particularitĂ© d’avoir les rectrices lĂ©gèrement « échancrĂ©es ». Sa lĂ©gèretĂ© lui permet aussi de pouvoir s’accrocher aux petits branchages et feuillages et de se retrouver suspendu la tĂŞte vers le bas.

Le « croupion » peut Ă©galement vous apporter une bonne clĂ© d’identification chez certaines espèces, mais la raretĂ© de cette Ă©ventuelle observation, m’incite Ă  vous conseiller de vous attacher Ă  ce dĂ©tail Ă©ventuel que quand vous aurez l’œil averti et une petite expĂ©rience!

La COULEUR DES AILES et les bandes associées (les barres alaires)

La ou les « couleurs » observĂ©es sur les ailes ou les barres alaires associĂ©es sont de très bons critères pour permettre d’identifier un oiseau. Ce sont souvent sous des vues de profil qu’on les observe, de nombreux dĂ©tails peuvent ĂŞtre relevĂ©s sur ces derniers, voici les affirmations que nous pouvons en dĂ©duire:

Est-ce que j’observe une ou plusieurs barres alaires? Est-ce plutĂ´t une tâche que je peux observer? Cette aile prĂ©sente-elle une bordure colorĂ©e? Ou encore est-elle de couleur uniforme? Ces questions ne sont pas exhaustives mais ces affirmations, vous apporteront un nombre de dĂ©tails suffisants afin d’essayer de dĂ©terminer l’espèce.

Le « Rossignol du Japon »

Le« Rossignol du Japon » est originaire du continent asiatique. Son aire gĂ©ographique s’Ă©tend sur un large territoire allant de la Chine jusque l’Inde, et mĂŞme jusqu’en extrĂ©mitĂ© Sud de ce mĂŞme continent. J’ai optĂ© pour cette espèce pour vous prĂ©senter cet aspect spĂ©cifique. D’une part, il a Ă©tĂ© introduit en France mĂ©tropolitaine et Ă©galement Ă  la RĂ©union! D’autre part, Il est prĂ©sent dans le Sud-Ouest (j’ai dĂ©jĂ  fait Ă©tat de nombreuses lectures Ă  ce sujet) et son magnifique chant a Ă©tĂ© entendu de mes propres oreilles sur les hauteurs de mon village dans le Sud de l’Ă®le! J’ai mĂŞme pu l’observer Ă  plusieurs reprises. Il possède un plumage très marquĂ© et colorĂ© sur ses ailes? Ces dĂ©tails le rendent très visibles lorsque son chant très mĂ©lodieux parvient Ă  vos oreilles.

Le DESSIN DE LA TĂŠTE

Plusieurs qualificatifs peuvent vous permettre d’amener une source supplĂ©mentaire d’information et vous faciliter donc l’identification de l’individu observĂ©!

Qualificatifs remarquables chez les petits oiseaux

Ces « dessins de la tĂŞte » peuvent ĂŞtre les suivants: des raies significatives, la prĂ©sence d’une calotte ou encore d’un masque, une nuque dont la couleur se dĂ©tache du reste de la tĂŞte et du dos, la prĂ©sence d’une bavette ou d’un sourcil, et pour finir une couleur unie qui peut aussi reprĂ©senter Ă©galement un dĂ©tail très caractĂ©ristique.

Le « Tec Tec ou Tarier de la Réunion » (Mâle)

Pour aborder les dessins de la tĂŞte, je trouve très intĂ©ressant pour deux raisons significatives d’opter pour le choix du « Tec Tec »! Cette espèce arbore plusieurs critères notables dans ce domaine, dont la bavette, le sourcil et la tache frontale. Mais le Tarier de la RĂ©union a la particularitĂ© aussi de prĂ©senter un polymorphisme très important! Chez cette espèce que nous soyons en prĂ©sence d’une femelle ou d’un mâle, ces attraits ne sont jamais similaires chez tous les individus. On peut relever des diffĂ©rences dans la forme, dans la coloration… Je profite Ă©galement pour vous murmurer que vous n’aurez pas de mal Ă  l’observer lors de vos prochaines balades Ă  la RĂ©union, tellement il est avide de curiositĂ©! (L’une des autres raisons de sa grande prĂ©sence dans les sentiers que vous frĂ©quenterez est une information que je donnerai qu’Ă  ceux qui me demanderont car Ă  mon avis importante qu’elle soit peu connue pour la survie de l’espèce!)

La COULEUR DE LA POITRINE

C’est un dĂ©tail très remarquable mĂŞme quand notre observation est assez lointaine, c’est pourquoi il est important de le relever dès que l’opportunitĂ© nous ai donnĂ© et toutefois si l’espèce observĂ©e en possède une très remarquable!

Le  » Gorge bleue à miroir » en période nuptiale (Mâle)

Un clin d’œil aux passionnĂ©(es) d’ornithologie du pourtour Ouest et Nord Ouest de notre Belle France! Cette espèce est très prĂ©sente dans cette rĂ©gion en pĂ©riode estivale. Il y trouve lĂ , une zone propice Ă  sa nidification et en adĂ©quation avec son mode de vie. Sur la majoritĂ© du reste du territoire, il n’est observable que de façon très alĂ©atoire. On ne peut lui reprocher d’arborer ce bel apparat que le mâle extĂ©riorise Ă  cette pĂ©riode faste de la reproduction!

Ses HABITUDES DE VIE

J’ai souhaitĂ© regrouper ces Ă©lĂ©ments en un seul critère car lĂ  aussi ces dĂ©tails demandent dĂ©jĂ  une petite expĂ©rience et une volontĂ© d’aller un peu plus loin dans la dĂ©couverte de leurs milieux de vie, leurs modes de dĂ©placement… Ces informations viendront complĂ©ter vos observations et vous apporteront des confirmations Ă  vos premières constatations.

Son « milieu de vie »: OĂą est-il? Vit-il dans les rĂ©sineux, dans les feuillus, dans les friches, dans les haies-lisières, dans les vergers, dans les prairies ou encore dans les villages…?

Son « mode de dĂ©placement au sol et en vol »: Quand il se dĂ©place Ă  terre, prĂ©fère t-il la marche, les sursauts successifs? Si ce dernier est plutĂ´t infĂ©odĂ© aux arbres, monte t-il en spirale ou par petits sauts? A t’il la tĂŞte vers le bas? A t’il un vol plutĂ´t direct ou onduleux? Se dĂ©place t’il plutĂ´t d’arbre en arbre ou de branches en branches?

Ces deux catĂ©gories de dĂ©tails qui encore une fois ne sont pas exhaustifs, vous permettront d’aller un peu plus Ă  leur rencontre et  comprendre pourquoi certaines espèces ont fait le choix avec les centaines d’annĂ©es, de dĂ©velopper par exemple, des artifices, des techniques de chasse ou tout simplement ce sont infĂ©odĂ©es Ă  des territoires spĂ©cifiques et en lien Ă©troit avec leurs « habitudes de vie ».

J’espère au travers de cette lecture vous avoir apportĂ© quelques Ă©lĂ©ments qui viendront Ă©gayer et agrĂ©menter vos futures balades. N’oublions pas qu’ils cohabitent souvent très proche de notre milieu de vie et il nous faut le partager (de façon pĂ©renne et durable) cet espace si on souhaite continuer Ă  pouvoir les contempler!! Je persiste et je signe qu’un bon ouvrage est nĂ©cessaire pour confirmer vos observations. Les dĂ©tails fournis vous permettront aussi de parfaire vos connaissances. Il ne reste plus qu’Ă  acquĂ©rir ce petit ouvrage de votre choix (si vous voulez des conseils, vous pouvez me le demander Ă©galement!). Ensuite, il ne restera plus qu’Ă  motiver tout le monde Ă  la maison et ALLER Ă€ LEUR RENCONTRE!

Sportivement La Vanille des Pyrénées